Marquée par le premier concert auquel elle assiste, celui du vénéré BB King, Margot s’ouvre à toute la musique noire américaine.
Face au micro en petite robe pailletée (influence de la légendaire Motown et du rythm’n blues), la jeune chanteuse encore mineure révèle sa voix, en disciple d’Aretha et de Tina.
Animée par la flamme soul, elle écume les clubs, bars et lieux de performance avec les Bolinos, les Hot Pants, les Dirty Ducks.